Colette Berthoud, était une grande et belle dame de la Radio

Il était une fois “Priorité Santé”, dommage qu’il n’y ait pas eu d’émission “priorité poésie”!

Colette Bertrand dans le souvenir de ses collègues…
Lissant la triste nouvelle et les premier souvenir des collègues de RFI , je me suis dit: je n’ai pas eu la chance de la connaitre… mais au fur et a mesure que les souvenir s’ajoutaient l’un á l’autre la décrivant…, maintenant je crois l’avoir croisée.
Oui, maintenant j’en suis sure! Sa grande silhouette me revient. Aussi, toute les souvenirs de RFI me reviennent á l’esprit et la Maison Ronde que j’aimais tant…et je suis aussi triste que vous tous.

Ce que je suis devenue, il est aussi grâce a ce passage a RFI… Je lui suis si reconnaissante!

KLARA BUDA

C’est une grande et belle dame de radio qui vient de nous quitter. J’ai une pensée pleine d’émotion pour elle qui fut, sur RFI, de longues années durant plus qu’une voix, une lumière pour celles et ceux qui, par millions, dans le monde entier, avaient besoin de savoir qu’en matière de Santé, l’espoir est une force indispensable pour lutter mieux contre la maladie. Et Colette a toujours porté en elle cet espoir qu’elle a si bien su transmettre au Monde sur les ondes de notre belle radio. Christian Sotty

Qu’elle triste nouvelle! Je conserve un bon souvenir de notre collaboration et j’estimais Colette pour sa profonde honnêteté professionnelle.  
Guy Riboreau

Je suis bien triste aussi. Colette c’est le souvenir de mon arrivée à Rfi, sa gentillesse, sa douceur, jamais un mot plus haut que l’autre mais une incroyable détermination dans les messages qu’elle faisait passer. Je pense en particulier à Sylvie Rys et Michèle Diaz qui partageaient à ce moment là le petit bocal qui constituait le bureau de “Priorité Santé”. Je pense bien à vous. Valérie Rohart.

Décembre 1997 à Abidjan, tu t’en souviens certainement Philippe …et puis beaucoup d’autres souvenirs de cette Afrique que Colette aimait tant et qu’elle m’a fait découvrir avec tant de plaisir et de professionnalisme… Mais aussi 8 années de travail avec une grande professionnelle,  Beaucoup de souvenirs et beaucoup de peine aussi depuis hier. Veronique Barral

Grande dame, la photo parle d’elle-même. Excellents souvenirs, beaucoup d’émotion, mes pensées à tous ses proches et amis. Anne Laure Marie

Ca fait tout drôle, ça fait tout triste d’apprendre cette nouvelle. C’est une autre voix de RFI qui vient de s’éteindre. Merci Jacqueline de transmettre mes plus sincères condoléances à sa famille et ses proches. Catherine Monnet

Beaucoup de souvenirs de missions avec Colette. C’était toujours un plaisir de partir avec elle. Sa disparition me chagrine beaucoup. Condoléances à sa famille et ses proches. Philippe Nadel

Très triste d’apprendre cette nouvelle. Colette était passionnée par ce qu’elle faisait, d’une extrême gentillesse et humanité. Françoise Delignon

Grande tristesse ! Une voix marquante des magazines de RFI ! Encore une voix qui s’en va. Véronique Gaymard

Encore quelqu’un qui part à qui je n’ai pas eu le temps de parler. J’aimais beaucoup Colette. Jean-Jacques Louarn

Un grand nom de RFI ! C’est triste. J’aimais beaucoup Colette aussi. Muriel Maalouf

Encore une petite part de RFI qui disparait.  Merci à tous ceux qui vont participer à l’émission du rendez-vous de la rédaction de la faire vivre encore un moment. Claude Nahmias.

C’est bien triste. Je suis très triste. Silvia  Celi.

Je suis bien triste. J’aimais beaucoup Colette. J’avais participé à l’organisation de sa dernière mission pour RFI: un voyage à Tombouctou. Denis Chastel

Mon dieu que c’est triste, tellement triste… Seule consolation est qu’elle n’ait pas souffert au moment de partir pour le grand voyage ! Toutes mes condoléances à ses proches! Dominique Raizon.

Chapeau bas pour la grande dame de la radio. Marion Urban.

“Pourquoi est-ce qu’on entend plus Colette Berthoud sur RFI? Je l’aimais beaucoup. Passez-lui mon bonjour! Voilà ce que j’entends encore aujourd’hui lors de mes pérégrinations en Afrique. Là bas, ils n’ont pas admis qu’elle puisse partir à la retraite. Comme quoi, les gens qu’on aime on les veut éternels, et ils le restent dans nos cœurs.

Colette était une grande professionnelle, avec un sens aigu de l’éthique. Et derrière ses airs “naturellement grande dame”, beaucoup de sensibilité et d’humanité.

Un souvenir d’elle qui m’est précieux: C’était vers la fin du mois de mai 1994. Au Rwanda le génocide des Tutsis était à son apogée, une actu comme une autre pour beaucoup. Colette qui ne traitait pourtant pas des dossiers politiques est venue mon voir dans le cagibi qui me servait de bureau. Avec sa pudeur habituelle, elle m’a dit ceci sans oser me regarder dans les yeux: “je sais à quel point ce doit être dur pour toi. Si je peux t’aider en quoi que ce soit…te trouver un médecin, ou même si tu veux pleurer je peux te tenir la main”. Je lui ai dit d’imaginer le tableau épouvantail qu’on formerait toutes les deux, longues perches, plus très jeunes, entrain de déambuler en pleurs dans les couloirs de la Maison de la Radio! On a éclaté de rire toutes les deux, et ça m’a fait du bien.

Au de là de ses émissions utiles qui répondaient aux attentes et aux angoisses des auditeurs, c’est cette humanité qui se dessinait en filigrane et que les auditeurs qui des années après ne l’oublient pas, ont su capter.

Je voudrais présenter mes condoléances à sa famille et dire à ses enfants que leur mère était vraiment quelqu’un de bien.

Madeleine Mukamabano.

Ce sont de beaux et bons souvenirs que je garde de Colette

Grande personnalité, professionnelle de conviction et d’exigence

Grande intelligence et grand charme

Et cette soirée, il y a quelques années, dans sa chaleureuse maison où nous nous sommes retrouvés…

Je sais que tu sauras présenter également nos condoléances aux siens

Hervé Guillemot

La communauté est encore endeuillée, et cette nouvelle fait mal. Je me souviens que nous avions pensé, avec Colette, à réexploiter les archives de ses émissions. Car au-delà de tout aspect commémoratif, c’étaient des grands moments de radio qui disent aussi beaucoup sur le quotidien en Afrique, lequel est souvent un quotidien de lutte pour la santé. Ce projet reste valable.  Thierry Perret

 

Colette est connue pour l’émission de santé de RFI. Ce que l’on sait moins c’est son goût pour la poésie. Je crois qu’elle aurait adoré guérir les âmes avec des mots. J’ai eu la chance de participer à l’enregistrement de certains de ses poèmes pour une émission spéciale. Ses textes dévoilaient une extrême sensibilité et une profonde humanité. Dommage qu’il n’y ait pas eu d’émission “priorité poésie”, sa voix et ses mots auraient sans doute soigné beaucoup de maux. Jean Marc Munier.

 Quelle tristesse : C’était une sacrée personnalité de RFI, une star en Afrique, dont les questions et les sujets touchaient les gens au plus près, loin de l’image un peu Dame suggérée par les photos. Parfois un peu cassante, toujours contre les clichés et super efficace. La polyo le sida et aussi les questions d’éducation à la santé et à l’hygiène, rien n’échappait à Priorité santé. Elle n’aurait eu de cesse avec Ebola, c’est sur. Aujourd’hui elle aurait des milliers de followers de likes et d’abonnés. Une pensée spéciale pour Michele Diaz et Sylvie Rys, qui ont travaillé directement avec elle. Catherine Frammery

Quelle bien triste nouvelle effectivement, Colette était si gentille, et impliquée dans sa belle émission médicale. Quel plaisir à l’époque de travailler avec elle et son équipe, en studio à la Maison de la Radio. Comme l’a écrit Madeleine, Colette était quelqu’un de bien. Roland Quéméneur

Comme tous je veux répéter que Colette  fut une femme magnifique, une journaliste talentueuse , une amoureuse de l’Afrique et plus largement de tous les auditeurs de rfi , si sensible à la grande aventure humaine, si proche des souffrances qui la jalonnent. Durant les années où j’ai travaillé à ses côtés, la vie  nous a amené son lot d’évènements difficiles et là encore  son empathie et sa chaleureuse parole furent sans faille. Son grand sourire, son écoute  attentive et le geste  de sa main pour remettre en place sa chevelure blonde après avoir enlevé son casque à la fin d’une émission  sont et resteront  en moi comme  des cadeaux. sylvie rys

Quelle tristesse de devoir parler au passé de la Grande Colette. Belle professionnelle modeste et pleine de saines révoltes, empathie profonde et active, sans pathos. Jamais une rencontre avec Colette n’était anodine, même dans le couloir pour quelques minutes; immense et curieuse bienveillance. Quelqu’un de bien!  J’ai pour longtemps encore sa voix dans les oreilles et je suis content de l’avoir connue. G. Mettra