Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les drogues.

  1. Qu’est ce que les drogues dures

(a) Principes actifs

Il existe trois familles de drogues. Tout d’abord les dépresseurs du système nerveux central comme l’alcool, les hypnotiques, les tranquillisants, les neuroleptiques et les analgésiques. Ensuite les stimulants doux, comme le café et la nicotine, les stimulants dures et enfin les hallucinogènes ou perturbateur. Il faut faire une différence entre drogues dures et drogues douce car oui, il en existe une. Une drogue dite dure provoque une dépendance psychique et physique forte au contraire des drogues douces qui entrainent une très faible dépendance mentale. Ils existent des drogues dures appelées drogues naturelle issues de produits naturels n’ayant pas été transformés ou très peu comme le cannabis et les champignons hallucinogènes, et il y a les drogues de synthèses. Ce termes est en opposition au terme « naturelle » car ces drogues nécessitent une synthèse en laboratoire comme l’esctasie et le LSD.

 

  1. De Grandes familles par composition.

Le pharmacologue Louis Lewin (1850-1929) a été le premier a donné une classification des substances actives sur le psychique en 1924 mais elle devient vite obsolète du à l’avancée moléculaire et une nouvelle classification vu alors le jour. Développé par les psychiatres Jean Delay et Pierre Deniker reposant sur quatre type d’action psychotropes: psychoanaleptiques, psycholeptiques, normothymiques et psychodysleptiques.

1. Psychoanaleptiques : action tendant à dynamiser le psychisme, augmentant la vigilance, améliorant l’humeur déprimée, mais susceptible, également, parfois, de précipiter des crises d’anxiété ou d’excitation (Cocaïne, antidépresseurs).

2. Psycholeptiques : action dépressive, entraînant le sommeil, ou du moins la sédation (apaisement d’une douleur), et des manifestations délirantes ou aggressives (héroïne, neuroleptiques).

3. Normothymiques : action caractéristique de substances visant à normaliser l’humeur de certains patients chez qui alternent des phases de dépression et d’excitation (médicaments ne peuvent donner lieu à toxicomanie).

4. Psychodysleptiques : action sans intérêt thérapeutique de nos jours, mais intégrée,dans les sociétés traditionnelles et autrefois en Occident, à de nombreuses pratiquesreligieuses ou rituelles, et induisant la survenue des hallucinations plus ou moins fortes ou, pour le moins, de troubles de la personnalité avec sensation d’irréalité

(LSD, Peyotl, Mescaline).

  1. De la même famille par leurs effets

Les drogues dures, comme les cools chargés de TD que vous etes avez du comprendre, agissent directement sur notre système. Le fait qu’elles « défoncent » vient donc directement de leurs compositions, en effet chaque drogues dures est formé d’un composant chimique qui, transformé ou non, amènera a l’effet escompter. Les drogues de la famille des Opiacés agissent sur les recepteurs opiacés, c’est à dire sur des neurotransmetteurs répondant à la douleur, au stress et au contrôle des émotions.

Les stimulants qui stimulent le fonctionnement du système nerveux: Tabac, Cocaïne, Crack, Médicaments stimulants (Amphétamines et autres dopants), Ecstasy, GHB. Ces produits favorisent temporairement un état d’éveil et d’excitation et réduisent la fatigue. Ils induisent un sentiment fallacieux d’assurance et de contrôle de soi. L’effet est généralement suivi d’un état d’épuisement et de dépression.

Les hallucinogènes ou perturbateurs qui perturbent le fonctionnement du système nerveux : Cannabis et produits dérivés, Produits volatils (colles et solvants, anesthésiques volatils), Kétamine, LSD, champignons hallucinogènes etc. Ces produits provoquent une perturbation de la perception de l’environnement et de la réalité : modifications de la perception du temps et de l’espace, sensibilité exacerbée aux couleurs et aux sons.

Les dépresseurs qui ralentissent le fonctionnement du système nerveux : Alcool, Médicaments tranquillisants et somnifères (Barbituriques, Benzodiazépines…), Opiacés (Héroïne, Méthadone, Codéine, Morphine… ).Ces produits entrainent une sensation de détente et de rêve ainsi qu’une perte d’inhibition.